Vous pensiez vraiment qu’il suffisait de passer 10 petites épreuves pour devenir capitaine. Et bien, vous vous trompiez. Après avoir réussi les 10 premiers petits tests, vous avez droit à prendre des cours avec un vrai capitaine qui a déjà navigué dans toutes les mers et par tous temps. Nous avons donc eu la chance d’accueillir à bord le plus grand amiral de toute la flotte de Grand-Leez, nous avons nommé Denys. D’abord, un peu de vocabulaire, Aymeric joue sur le trampoline, Isaline surveille la poupée, Guilhem revoit sa géométrie en commençant par le carré, Augustin améliore l’écoute, Hubert évite les gaffes, Béné prépare la patte d’oie et Laurent regarde sous les jupes. C’est très simple en fait. Ensuite, un peu de mécanique et d’entretien, et nous voilà repartis pour une navigation de nuit en direction de Prickly Bay à Grenade. Cela fait 20 minutes que nous naviguons sur une mer bien calme en cette fin de journée de mardi et déjà Denys aperçoit une famille de dauphins. Tous à l’avant, sur le trampoline, nous prenons le temps de les observer jouer, sauter, se tourner comme pour nous regarder, les filmer, les photographier, … Mais nous voilà déjà hors de la baie, les dauphins nous quittent et les vagues progressent faisant osciller le bateau. les bouteilles glissent sur le plan de travail, les tiroirs et les armoires s’ouvrent, …Vite, on range tout dans les armoires, cela nous rappelle notre camion sur les pistes africaines. La mer se déchaine un peu et le bateau grince. Le soleil vient de se coucher. On organise les quarts pour passer la nuit. Tous les enfants s’endorment sur des matelas de fortune dans le carré, tandis que à tour de rôle nous veillons. Heureusement, le vent est constant et petit à petit la mer se calme. Nous passons entre 2 plates formes gazières, nous les appelons les sapins de Noël tellement ils sont éclairés dans la nuit (l’énergie, n’a pas le même coût pour tout le monde …). Hubert et Augustin nous rejoignent de temps à autre pour nous aider. Le bateau avance bien, trop bien même … Denys terminera la traversée en zigzaguant et en ralentissant au maximum notre allure pour arriver au port de Prickly Bay au lever du jour, vers 5H00 du mat. Là, horreur, il y a des dizaines et des dizaines de bateaux ancrés les uns à côté des autres. Ils attendent tou la fin de la saison cyclonique. Nous nous trouvons une petite place et jetons l’ancre. Isaline recherche les drapeaux français pour se faire des copains, tandis que les garçons parcourent la baie avec l’annexe pour repérer le plus grand ou plus beau bateau. Laurent et Denys s’occupent des formalités et de quelques achats tandis que Béné pétrit le pain. Très vite nous repartons pour une baie un peu plus tranquille, Egmont Bay. Magnifique baie toute en longueur avec juste quelques bateaux et quelques maisons très originales. Juste avant d’arriver, nous attrapons notre premier poisson. Un magnifique poisson qui passera le soir même sur le barbecue. A 4h00 du mat, tout le monde dans le carré, on ferme toutes les fenêtres, il y a un orage juste au dessus de nous. Le vent souffle, la pluie tombe à grands sauts mais heureusement le bateau ne bouge pas et nous nous rendormons. Dans la journée, nous testerons l’équipement de plongée et certains observeront déjà de beaux poissons. C’est ensuite un musée sous-marin que nous visiterons avec masques et tubas. Un ensemble de statues entourées de jolis poissons de couleurs variées nous saluent du fond de l’eau. Dommage, le soleil n’était pas au rendez-vous pour nous offrir encore un plus beau spectacle. Nous retournons déjà à Prickly bay pour passer à la douane (en effet chose un peu embêtante, quand on arrive et quand on quitte un pays, on doit passer à l’immigration et à la douane, normal, vous aller nous dire, mais on en a déjà copié des pages avec tout notre pédigrée en x exemplaires … ). Nous nous pressons pour arriver à temps à la douane et accostons au ponton le plus proche. Heureusement, nous passerons la nuit là, bien attaché car le vent et la pluie se lèvent à nouveau. On ne voit même plus les bateaux à côté de nous. Ce ne sera pas possible de préparer un barbecue pour le souper, alors pizzas pour tout le monde après la douche biensûr, merci amiral. Le lendemain, réveil à 5h00, 85 miles nous attendent pour retourner à Chaguaramas, à Trinidad. Nous partons très optimistes, une belle journée de navigation par 15 Nds de vents. Malheureusement, nous prenons à plusieurs reprises de gros grains. En repliant la voile du génois, elle se déchire. Pas possible d’y regarder maintenant, nous examinerons les dégats à quai. Le génois enroulé nous poursuivons notre traversée. Plus tard ce sont des rafales de vent avec des pointes à 40 Nds (un coup de vent, en langage de marin, soit 8 beaufort) qui se déchainent autour de nous. Vite tous à l’abri dans le carré mais les paddles s’envolent tellement le vent est fort. Denys et Laurent ressortent pour mieux les attacher. En 2 minutes, ils sont trempés comme s’ils avaient sauté à l’eau. Mais heureusement (et surtout pour les estomacs un peu malades) cela ne dure pas trop longtemps, le vent se calme et retombe à 15 Nds. Le courant est contre nous et ce n’est qu’à 5 Nds que nous progressons. Arrivée prévue pour 21H00. Il fera déjà noir. C’est dans la Scotland bay de Trinidad que nous jetterons l’ancre pour la nuit. L’eau est calme et permet à chacun de s’endormir serein après cette éprouvante journée de voile. Au matin, quel bonheur, au lever du soleil. Tout est calme. Plus qu’à faire quelques apnées pour dénouer le fil de pêche qu’on avait oublié de remonter et qui s’était pris dans l’hélice. C’est content mais aussi enrichis de tous les conseils et l’expérience de notre amiral de passage que nous reprenons notre place à Coral Cove, une des marinas du port de Chaguaramas. Merci pour cette magnifique semaine de stage passée en ta compagnie. Ne râle pas l’ami, tu resteras toujours notre amiral préféré. Tu manques déjà énormément à Aymeric et Isaline.
Bienvenue Amiral !
N’oubliez pas c’est important : prenez la météo tous les jours et réservez au plus vite vos pneus neige en attendant le nouveau gouvernement.
Pour info; les enfants adorent le voyage sauf quand il faut travailler pour l’école. C’est dingue, c’est partout pareil. Un tout grand merci à Madame Angélique et tous les copains de classe d’Aymeric pour tous les petits mots bien sympas qui nous sont parvenus !
Petite rectification de notre précédent article :
Merci à toi Amiral pour tous les conseils que tu leur a prodigué ainsi que pour ce compte rendu des plus rassurant.
Je ne sais pas pourquoi, mais rien ne m’étonne dans tout ce que tu dis. Que ce soit à propos des enfants qui assument chacun leur place, Laurent qui puise son plaisir, sa débrouillardise et son adresse dans le défi et Bénédicte qui, quelque soit l’endroit sur terre ou sur mer, quel que soit le temps ou le nombre de convives, s’adapte à n’importe quelle condition, comme ça, mine de rien.
Pourvu que Bénédicte parvienne à tempérer la fougue et l’optimisme parfois excessif de ses hommes, petits et grands…
IMNNGL
Salut les sept!
Je partage l’avis de Jean-Sé sur la plume du capitaine. C’est fou comme cela supprime de la distance aussi en rendant vos aventures toutes proches.
Curieux de connaître le(s) prochain(s) épisode(s) 😉
Voguez moussaillons, voguez!
Vous, je ne sais pas. Mais moi, je trouve que l’amiral a une sacrée plume! Il nous décrit une famille Claes pleine d’allant, sept personnalités complémentaires et attachantes. Très beau compte rendu plein d’humilité – mais on n’est pas dupes, on sent que cet homme en a déjà vues des vertes, des pas mûres et des qui vous obligent à vous faire violence pour ne pas renvoyer votre petit déjeuner d’où il vient.
Merci, amiral. Merci de nous avoir régalés avec ces quelques lignes. Et merci surtout d’avoir contribué à l’écolage des Sept à Vivre: ils ont gagné en expérience, ce qui ne peut que nous rassurer.
PS: Tiens, j’ai bien ri en me rendant compte que Laurent a en réalité quatre mains pour la barre, une écoute, un tournevis et du cambouis – c’est donc ça son truc, moi aussi je me demandais comment il faisait pour assumer autant de responsabilités à la fois.
Que d’honneurs! J’étais parti pour voir comment la famille et le bateau s’étaient mutuellement apprivoisés. Et je suis revenu rassuré:
Laurent n’a peur de rien si ce n’est de la routine. Pas question de faire des ronds dans l’eau comme tous ces capitaines d’operette. The sea is the limit! La barre dans une main et une écoute dans l’autre, il domine sa monture même dans les pires rodéos. Il est infatigable et n’est heureux qu’un tournevis dans une main et du cambouis dans l’autre.
Bénédicte est heureusement là pour le raisonner de temps en temps. « C’est pas l’homme qui prend la mer, c’est la mer qui prend l’homme…mais elle ne prend pas la femme, qui préfère la campagne ». Béné n’est pas encore comme un poisson sur l’eau, mas ça viendra vite car elle a des gènes de Tabarly (c’est la première fois que je vois quelqu’un préparer un gateau aux pommes quand la mer est agitée et le vent souffle à plus de 40 noeuds).
Hubert un parfait second aux ordres de son capitaine, toujours là pour border, choquer, ou étarquer. C’est peut-être lui qui m’a rassuré le plus.
Augustin va bientôt trouver sa place comme routeur, le nez sur son ipad, profitant de toutes les connexions wifi pour prendre la météo et repérer les cyclones en formation.
Guilhem a mérité ses premiers galons comme matelot et comme pêcheur. Les dorades et les espadons en font pipi dans leur culotte.
Quant à Isaline et Aymeric, mon copain et mon amie, ils sont partis pour de très grandes aventures. Se nourissant exclusivement de rêves et d’eau fraiche, ils se retrouvent dans un monde où la réalité rejoint leur imagination débordante, où les dauphins les escortent et les poissons-lion rugissent dans la savane de corail.
A un équipage comme celui-là, je n’ai qu’un conseil à donner: écoutez les tous, mais tracez votre propre route, unique et passionante!
Mardi 14 octobre. Temps gris sur le centre du pays. Vent léger et assez froid mais pas de pluie. Rien à voir avec le vent de chez vous : on peut dire que ça « déchire » là-bas !
Petite pause entre deux lignes tracées sur Autocad : Quoi de neuf chez les Sept à Vivre ? Qui a écrit quoi depuis la dernière fois ?
Le temps de relire toutes ces nouvelles, mon estomac creuse. Je vais donc vous laisser à vos cordages pour préparer un casse-croute et je cède mon ordi à Ivan qui regarde avec attention les magnifiques photos.
Eh oui, lui aussi n’est pas à l’école, mais pas pour les mêmes raisons que vos enfants. Comme il a très envie de venir sauter sur votre nouveau trampoline, et qu’il a une expérience assez désastreuse du trampoline du Trichon, il a choisi de se casser l’autre bras dimanche après-midi histoire de régler cette éventuelle possibilité lors d’une potentielle partie de « jump » dans vos filets ! Oui, oui, on fait très fort chez les Kozy’s en ce moment… Après le pied de Basile, c’est une double fracture d’un avant-bras. Qui dit mieux ?
Bonnes découvertes chers amis et n’oubliez pas d’être prudents.
Stèph
P.S. Merci pour la photo de groupe. Me voilà rassurée : Béné est bien à bord ! Elle n’est pas restée avec Poupoune à Miami.
Bonjour Isaline,
Comment vas tu ? Moi ça va car c’est journée pédagogique aujourd’hui … ouf.
J’ai regardé la photo où tu travailles.
Les dauphins sont trop beaux :=)
Bon voyage et profite bien.
Demain j’ai contrôle sur les champignons … t’as trop de bol .
Tu me manques, grrrrrrros bisous 🙂
Maurine.
Bonsoir, merci de nous rejoindre sur CNN pour ce point presse. Les news en bref:
– Il y a quelques jours, au large de Trinidad & Tobago, un cargo a été victime d’une attaque portée par un catamaran. Grâce au sang-froid du pilote, la collision a été évitée de peu. Le capitaine témoigne: « C’est fou! Ils ont vraiment essayé de m’éperonner. Avec un Lagoon!!!! C’est drôlement gonflé ». Les autorités maritimes sont à la recherche des pirates. Toute information permettant de mener à l’arrestation des coupables sera récompensée par un Bongo pour une croisière d’une semaine dans les Antilles.
– Page écologie: le conservatoire marin rappelle qu’il est strictement interdit de s’amuser à faire peur aux dauphins (on dit d’ailleurs « faire flipper les dauphins ») en les poursuivant.
– Un couple de retraités de Miami nous prie de diffuser l’avis de recherche suivant: Perdu Poupoune, petit chien affectueux et trop confiant. Le jour de sa disparition, Poupoune portait des poils et rien d’autre. Il a été aperçu pour la dernière fois à la fenêtre d’un camping-car.
– L’honorable Rick Scott, gouverneur de Floride, a décrété l’état d’urgence et fait appel à la garde nationale. C’est en regardant un reportage de NBC Miami sur la sortie de l’iPhone6 que le gouverneur Scott s’est rendu compte que les Claes avaient séjourné dans le « Sunshine State ». En se rappelant ce qui était arrivé précédemment en Syrie, en Egypte et au Soudan après leur passage, Mr Scott a immédiatement pris les mesures nécessaires pour garantir la stabilité de la Floride. A notre micro, Ricky – qui n’est pas à la houppe étant donné que son crâne compte autant de cheveux qu’il y a d’icebergs dans la baie de Chaguaramas – nous a déclaré: « A ce stade, nous n’avons rien à reprocher aux Claes mais vous connaissez l’adage: un gouverneur qui guérit en vaut deux qui préviennent, enfin c’est le contraire, ou bien alors c’est l’inverse, oh et puis zut vous voyez ce que je veux dire ». Il est bien le seul. Rappelons que le gouverneur Scott est républicain.
A très bientôt pour un nouveau flash.
Bonjour les aventuriers!
on espère que vous vous faites facilement aux dauphins et autres réjouissances de la mer.
En tous cas les photos sont magnifiques et tout le monde a l’air en pleine forme.
Bon, moins spectaculaire, mais comme promis, on vous a envoyé un lien pour que vous puissiez voir si notre future maison avance aussi vite qu’un catamaran!
à bientôt et à vous lire sur ce magnifique blog!
Charlotte, François et enfants
Salut , Isaline tu as reçu mon message ?
Dans quel pays es tu pour le moment ?
J ‘ espère qu ‘il est beau !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Ta vidéo avec les dauphins est MAGNIFIQUE!!!!!!!!!!!!!!!!
Tu as beaucoup de chance!!!!!!!!!!!!!!
Gros bisous
MORGANE
Vous disiez que votre paquebot
changerait de nom….
Et à part le drapeau tricolore,
je ne vois nulle part
« 7àvivre » apparaître sur la moindre photo.
Alors, vite, faites plaisir à Franzi
Rappelez-lui les souvenirs d’Afrique,
Montrez des photos de votre
camion amphibie…
En marche avant ou marche arrière
Mais attention aux arbres en pleine mer…
Je vous embrasse
Nom : DANONE
Prénom : Petit Gervais
Alias : Petit Suisse 🙂
Pour ceux qui doivent absolument aller à l’école mais qui préfèrent faire des cabrioles sur trampoline :
1. Quelle est l’hypoténuse de la voile principale ?
2. Sachant qu’un rebond sur trampoline
vous permet d’arriver à une fois et demie
la hauteur de votre corps,
quand faut-il sauter le plus haut pour
voir le soleil déjà couché sans sauter ?
a. à marée basse ?
b. à marée haute ?
3. Si je me lève à 5 heures et que je me
couche à 3 heures, à quelle heure dois-je
me recoucher pour rattraper ma moyenne
de 8 heures de soleil par nuit ?
4. Si j’ai 25 mètres de fil entourant une hélice
de 25 centimètres de diamètre, combien de fois
dois-je tourner pour défaire le fil ?
Question subsidiaire : combien d’apnées
de 54 secondes faut-il pour réaliser cela ?
Bonjour à nos amis Otto, Matt et Basile Hic
Bein quoi les Claes ?
Nous nous attendions à agrémenter votre barbecue….
et patatras…
tout tombe à l’eau …
(oui, c’est difficile dans votre cas
que cela tombe à terre ! Pas de pot !)
On se préparait à venir vous tenir compagnie ….
mais non….
vous nous faites éprouver des angoisses….
nous avons la trouille avec vos aventures.
Vous transmettez des ondes et vlan !…
Vous nous faites vraiment FLIPPER………
Vous nous rappelez
Ricou Browning et Jack Cowden,
scénaristes pour NBC
(pardon à votre reporter CNN !)
qui entre septembre 1964
(il y a xxx ans…vous n’étiez pas nés)
(Charles dirait : je vous parle d’un temps que
les moins de 20 ans ne peuvent pas connaître…
La Bohême…)
et janvier 1968 nous narraient
les aventures de la famille Ricks :
le père, Porter,responsable du parc aquatique
Coral Key en Floride et ses deux fils,
Sandy et Bud.
Mais le véritable héros de la série est Flipper,
un grand dauphin apprivoisé par Bud,
qui vient en aide aux
nageurs en difficulté ou AUX NAUFRAGES.
(Merci Wikipedia)
Ca y est : vous nous faites FLIPPER
le Dauphin…bien sûr.
Bien sûr, par radio Contact
nous restons proches de vous.
Et vous, restez bien proches des dauphins,
vu ce que Wikipedia nous dit….
Et avec tout ça, nous Picca et Lilly, n’avons pu
égayer votre repas familial….snif.
Alors, please, on a vu le capitaine
Et son équipe sizaine
mais où est la Cheftaine ?
Montrez-nous la fée Béné,
Qu’elle soit BCBG
(Bikini Coquet Bikini Grandiose)
Et nous serons rassurés.
Transmettez nos amitiés
à nos amis Tex Mex,
Aïe au lit (ou couchette)
6 boules et Charlotte…..
Nous vous embrassons
Picca et Lilly
PS
Nous admirons votre chroniqueur,
qui avec son PC sur les genoux
et dans son lit en plus,
vous fait de beaux commentaires.
Mais PC ça veut dire Petit Chat ?
Ou bien Pas Chat ?
C’est un samedi triste, je suis au milieu des mes carton pour demenager et je mes sent perdu et toute seule. J’ai lu votre histoire du voyager et je comence a rêver….. manifique ca que vous faites. ca me souvient beaucoup a l’afrique et j’aimerais bien etre avec vous maintenant, vous me manquer! mais on sait jamais, peut-etre on va se rencontre a quelque parts… je embrasse tous le monde tres forte et bon continuation
JOLI pagre les amis …. Vous avez du vous régaler … Bonne couture pour le génois… De grosses bises et peut être à très vite
Ciao
Bigre, quelle densité! Nous devinons que vous peinez à résumer en quelques lignes des jours et des jours d’aventure. Rassurez-vous, vous y parvenez très bien. Dommage pour tout ce que vous avez dû zapper mais, vues d’ici, vos aventures sont à la fois magnifiques et éprouvantes – ce qu’elles sont effectivement, sans aucun doute.
Avec le toupet qui me caractérise, le PC sur les genoux et vautré dans mon lit comme un pacha – un oeil sur Sept à Vivre et l’autre sur Belgique-Andorre (vous avez choisi votre moment pour uploader votre article) – je ne peux que vous recommander de vous « faire les dents » tant que vous pouvez. La mer est comme cette montagne que vous connaissez si bien. Elle n’est ni votre ennemie ni votre amie: elle n’en fait qu’à sa tête, point à la ligne. Tantôt elle s’offre sans réserve, tantôt elle ravage tout sur son passage… Apprenez à la lire, à la comprendre, à anticiper sa volonté. L’aventure sera plus sûre et elle n’en sera que plus belle.
A très vite… et merci de prendre le temps de partager ces moments. Du coup, ils deviennent (presque) aussi précieux pour nous que pour vous.
Jean-Seb